Du sale boulot !!!!
je vous fais part d'une mésaventure qui m'est arrivée lors d'un dépannage d'un ordi portable asus x50r acheté en dec 2007.
la pile du cmos n'assurant plus la fonction horaire, j'ai confié mon ordi à la société INTERNETCOM située à Guérande au 22 rue des salamandres.
l'ordi m'est rendu dans la semaine et la facture conforme au montant signifié : 48€
Moins d'un mois s'écoule et l'ordi tombe en panne et fait apparaître un bruit d'objet se baladant à l'intérieur.
Retour chez le réparateur mais le technicien de Guérande étant absent, c'est le patron qui reprend l'affaire en son bureau de st Nazaire. Démontage de l'ordi. il s'avère que la pile est sortie de son logement. Remise en état et je reprends mon ordi en échange de 60€. L'ordi retombe en panne le soir même. Retour à st Nazaire et réintervention du patron. Je reprends mon ordi et il m'assure que ce coup là la pile restera en place grâce à un scotch qui la maintient dans son logement. Test de fonctionnement au bureau de st Nazaire,c'est ok. Retour à mon domicile et, confiant, je tente de remettre en marche l'ordi 48h plus tard. Pas de mise en route possible.
Ayant déjà dépensé 108€ pour rien, je décide de démonter l'ordi et là je constate que le logement de la pile a été abîmé par le 1er intervenant de Guérande voir la photo ci-dessous
je vous laisse apprécier la réparation effectuée par le patron avec SON fameux scotch qui se révèle être du microporeux de pharmacie qui n'a pas résisté à la poussée de la languette laiton de contact. Inadmissible de la part d'un professionnel:
La photo ci-après montre la réparation que j'ai faite en collant un morceau de plastique qui fait talon avec de la scyanolite. De plus un fil relié à l'écran était rompu et a nécessité un ressoudage.Depuis cette intervention l'ordi fonctionne correctement.
Ceci pour la partie technique. Il me faut également mentionner le comportement du patron qui m'accuse d'avoir saboté ses interventions en démontant l'ordi. La preuve dit-il il manquait 5 vis!!. Devant un tel comportement je me devais d'être lanceur d'alerte afin que pareille mésaventure ne puisse se reproduire. J'ai évidemment conservé les échanges de mail montrant la conduite inqualifiable du patron dans cette affaire
